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Oui, c’est possible. Une fois que le sol est réchauffé, l’habitation gardera sa chaleur grâce au seul chauffage par le sol, sans éléments additionnels.
Notez, néanmoins, que le chauffage par le sol est lent. Dès lors, il est bon de prévoir un petit chauffage électrique (p.ex. à infrarouges) dans la salle de bain pour les matinées fraîches d’été. A ces moments-là, il est impossible d’amener aussi vite à température le chauffage par le sol.
Un chauffage par le sol correctement placé ne peut être malsain. Des risques pour la santé n’apparaissent que lorsque la température à la surface du sol excède les 30°C. Grâce aux tuyaux épais utilisés par Techni-Self et à la faible distance de montage, la température de surface est largement inférieure à cette valeur.
Il est également bon de savoir que le chauffage par le sol provoque moins de déplacements de poussières et diminue l’humidité de l’air, ce qui est tout bénéfice pour la santé.
Le stratifié combiné au chauffage par le sol ne présente aucun problème. Veillez uniquement à ce que votre chape soit bien sèche (minimum 1 semaine/cm de chape) avant de poser le stratifié. Gardez les lots de stratifié ouverts pendant quelques jours sur votre chantier avant de les poser afin qu’ils s’habituent au climat intérieur de votre habitation.
Si vous décidez d’utiliser un film sous le stratifié, choisissez une version non isolante.
Durant l’entre-saison, votre sonde extérieure diminue automatiquement la température de chauffe, ce qui entraîne une consommation moindre et une température constante au sein de la maison. Vous n’avez donc rien à faire. Allumez votre thermostat d’ambiance en automne et éteignez-le au printemps.
Gardez votre chauffage par le sol à température. Il faut beaucoup plus d’énergie pour amener le chauffage par le sol à température que pour conserver la chaleur dans une habitation bien isolée.
Dans une nouvelle construction bien isolée, équipée d’un système de ventilation D, une chambre à coucher ou un bureau gardera une température agréable même sans chauffage par le sol, prévoyez des prises de courant si vous décidiez d’installer un appoint électrique à l’avenir.
Ce serait une mauvaise idée vu la lenteur du chauffage par le sol. Gardez-le simplement allumé et utilisez éventuellement les robinets de débit pour affaiblir et régler certains circuits. Chaque chambre recevra ainsi une température différente.
Vu son fonctionnement modulant et sa régulation par sonde extérieure, la chaudière à condensation cherchera toujours à fonctionner à une température aussi basse que possible. Celle-ci ne posera aucun problème aux anciens radiateurs à panneaux ou aux radiateurs en fonte. D’ailleurs, une chaudière à condensation murale peut, si nécessaire, fonctionner à des températures plus élevées. Son rendement sera toujours supérieur parce que la superficie de l’échangeur de chaleur est plus importante que dans la chaudière CC conventionnelle et que l’on puise constamment de l’énergie et de la chaleur du récupérateur-condensateur !!
En résumé : même si l’on conserve un régime de température élevé, la chaudière à condensation reste la solution idéale, et vous n’aurez pas à remplacer immédiatement vos éléments de chauffage plus anciens.
Cela ne pose aucun problème à condition que vous veilliez à ce que les vannes thermostatiques ne contredisent pas le thermostat d’ambiance. Si vos vannes sont fermées et que votre thermostat demande 23° C à la chaudière, il est évident que votre living ne baignera jamais dans cette agréable température. A cela s’ajoute le risque que votre installation ne subisse une surpression : c’est pourquoi nous plaçons une soupape de pression différentielle (souvent sur les collecteurs). Cette soupape rétablit l’équilibre entre la conduite de départ et celle de retour lorsque surgit une différence de pression due à un manque de débit dans les radiateurs. Si vous ne mettez pas de vannes thermostatiques dans la pièce où se situe le thermostat, vous n’aurez pas à installer de soupape de pression différentielle.
Les causes sont diverses :
De l’air dans l’installation
des bulles d’air circulant dans le circuit de chauffage peuvent provoquer un bruit désagréable. La meilleure façon de purger consiste à faire chauffer votre installation (tous les radiateurs !). Eteignez, ensuite, le thermostat d’ambiance et attendez que l’eau s’immobilise dans le circuit. Après 10 à 15 minutes, vous pourrez purger les radiateurs. Utilisez un tournevis plat ou une clé de purge. La chaudière CC et les collecteurs sont, en général, équipés de purgeurs automatiques.
Trop de pression dans l’installation
une pression de fonctionnement trop élevée causera du bruit. Vous aurez l’impression que l’eau “frotte” contre les radiateurs. Ce type de bruit peut aussi être provoqué par une pompe fonctionnant trop vite. Solution : diminuer un peu la pression (1,5 bar) ou diminuez la vitesse du circulateur sur 1 ou 2.
Soupape de pression différentielle mal réglée
si votre chaudière CC continue à pomper de l’eau vers des vannes thermostatiques fermées ou quasi fermées, vous pourrez entendre du bruit (coups). Solution : soit ouvrir totalement les vannes thermostatiques, soit mieux régler la soupape de pression différentielle sur les collecteurs.
Il s’agit d’un problème typique provenant d’un débit trop faible dans le radiateur. Ceci peut être dû à une obstruction ou à une purge nécessaire. Il y a de fortes chances pour que la tige du corps thermostatique ne soit bloquée. Dévissez la tête thermostatique et tapotez plusieurs fois sur la tige (ne surtout pas tirer sur celle-ci !). Vérifiez aussi si les petites vannes d’arrêt sous le radiateur sont totalement ouvertes.
Bien sûr, il faudra seulement programmer la certification de votre conduite pas un organisme agréé (OCB, BTV, AIB, …) afin de réceptionner votre travail et d’être dans les normes niveau assurances.
Bien sûr. Autrefois, la plupart des chaudières au gaz murales possédaient un “chauffe-eau instantané” intégré dont le débit de seuil était de 3 à 4 litres/minute. Lorsque le débit prélevé est très faible (en dessous des 4 litres/minute), le “chauffe-eau instantané” s’arrête et ne produit plus d’eau chaude. Dans le cas des chaudières à gaz murales modernes, la production d’eau chaude est fournie par des échangeurs de chaleur à plaques. L’eau chaude est préparée de façon modulante, sans débit de seuil : la quantité exacte d’eau, à la bonne température et avec le débit qui convient.
Le coup de bélier. C’est la conséquence d’un choc hydraulique lorsqu’un liquide est brutalement arrêté dans une canalisation. Cela peut provenir d’une fermeture trop brusque d’un robinet avec poignée de commande ou d’une électrovanne dans le lave-vaisselle ou la machine à laver, … La force libérée par le retour d’eau s’apparente à une véritable explosion, pouvant multiplier par 4 la pression. Solution : régulateur de pression au compteur, vase d’expansion sanitaire, clapet anti-coup de bélier, …
L’eau de pluie est plus agressive que l’eau de ville. De nombreux fabricants indiquent dans leurs clauses de garantie la valeur minimale du pH qui doit être mesurée dans l’installation. Aucune garantie d’usine ne vous sera octroyée si le degré d’acidité dans l’installation est trop élevé.
Cela paraît impossible. Cependant, les chaudières à condensation possèdent un rendement nominal supérieur à 100%. Lors du calcul du rendement des chaudières classiques, l’on partait du concept que 11% de l’énergie se perdaient dans les gaz de combustion. La norme de rendement fut donc placée à 100% au lieu de 89%. La chaudière à condensation compense justement cette perte. En d’autres mots, comparé aux chaudières classiques, le rendement est de 108% si vous calculez de la manière classique et de 97% en termes de rendement réel.
Non, certainement pas. Une chaudière à condensation de 24 kW aura, par exemple, une consommation annuelle de 2.500 m³ de gaz, ce qui revient à environ 2.500 litres d’eau de condensation dont le degré d’acidité avoisine les 3 à 5 pH (gaz naturel). Si nous comparons, le pH du jus de citron tourne autour des 2 à 3 tandis que celui des eaux usées domestiques est plutôt basique, soit entre 7 et 10.
Cependant, nous vous déconseillons de la laisser s’écouler dans une gouttière en zinc. L’eau de condensation la corroderait en quelques années.